
Ils en parlent... Laurent Lafourcade
Si l'album commence comme une série fantastique comme une autre, c'est lorsque Sandor G. Weltman prononce son nom que des frissons parcourent les corps de tous les lecteurs bercés par Le chant des Stryges et ses séries dérivées. Il n'y a pas de doute. L'univers est bel et bien de retour pour un diptyque qui, on l'espère, n'est que le premier d'une nouvelle salve de récits consacrés à la mythologie des Stryges. Contact and Inducement, ce fameux vrai-faux livre rédigé par Peter McKenzie, continue à entretenir le mystère.
C'est lorsqu'à la planche 23 Sandor G. Weltman prononce son nom que des frissons parcourent les corps de tous les lecteurs bercés par Le Chant des Stryges et ses séries dérivées...
Corbeyran remonte aux sources des Stryges dans la mythologie égyptienne, jouant des hommes et des dieux. Nicolas Bègue représente l'Egypte et le Paris de la fin du XIXème siècle dans une immersion totale. Lucie Fabbro lie les deux endroits dans des tons de couleurs qui glissent de l'un à l'autre des lieux sans rupture. C'est presque étonnant comme ça passe. Comme pour rassurer les lecteurs, c'est Richard Guérineau qui signe la couverture.
Retrouvez la chronique complète de Laurent Lafourcade sur le site des univers fantastiques de Corbeyran.





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